La pompe d’arrosage permet la récupération et l’utilisation de l’eau d’un puits, d’une source, d’une rivière ou même, de l’eau de pluie stockée en citerne, et de réaliser ainsi d’importantes économies.
Ces dernières années, le prix de l’eau du robinet ne cesse d’augmenter, dans toutes les régions de France. De plus, lors de périodes de fortes chaleurs, il est souvent interdit d’utiliser cette eau pour l’arrosage des jardins et plantations. Par contre, le propriétaire d’un terrain sur lequel se trouve un puits, une source ou une rivière, a le droit d’utiliser cette eau pour ses besoins, à la seule condition qu’il ne s’oppose pas à son écoulement naturel.
C’est là que se trouve tout l’intérêt d’une pompe d’arrosage, tout en permettant de ne pas tirer l’eau du réseau public.
Deux types de pompes peuvent être utilisés pour l’arrosage : les pompes de surface, et les pompes immergées.
Les pompes de surface peuvent être électriques ou thermiques, elles sont posées à l’air libre, au-dessus ou à proximité du point d’eau, elles sont capables de relever l’eau jusqu’à 7 mètres de hauteur et, peuvent être couplées à un surpresseur.
Les modèles immergés permettent d’utiliser l’eau des puits profonds (plus de 7m) ou même des forages, elles sont silencieuses et puissantes, équipées d’une sécurité détectant l’absence d’eau pour éviter tout risque de surchauffe moteur.
Dans tous les cas, la pompe d’arrosage permet de réaliser d’importantes économies sur le prix de l’eau, car elles sont peu gourmandes en électricité, de plus, l’absence de produits chimiques
(chlore, etc.) des eaux de récupération, est bénéfique pour l’arrosage des jardins.